Capitaine Io
Tu vas nous manquer...
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Bonne route à toi, et continue à allumer nos rêves de tout là haut.
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Fakir
« Fakir ! » s’écriait la classe mi-admirative mi-moqueuse lorsque le prof de physique réussissait sa manip.
Et aujourd’hui on est bien obligé d’en dire autant au fakir Sarko qui a su mettre une fin heureuse à l’invraisemblable cauchemar des infirmières bulgares.
Encore condamnées à mort il y a une semaine, elles sont arrivées libres ce matin à Sofia. D’accord, il n’était pas seul, Bruxelles mettait tout son poids dans cette affaire, et il y avait l’émir du Qatar aux poches profondes pour financer l’opération, mais l’idée de génie a été d’envoyer en première ligne sa tendre mais parfois infidèle épouse. Et ça a marché !
Sarko avait bien mesuré le comportement des mâles arabes musulmans avec le sexe dit faible, et celui de Khadafi en particulier, qui, on le sait, s’est entouré d’une garde exclusivement féminine. Et lui envoyer par trois fois en une semaine la jeune et fort sémillante épouse d’un membre du G8, ça a bouleversé le fort macho émir du désert : il a cédé, il s’est écrasé et a lâché son gage.
D’accord, les socialistes ne sont pas contents et parlent de « triche », ils auraient préféré que les infirmières continuent à croupir derrière leurs barreaux que de les voir libérées par le sourire d’une femme, surtout de la femme à Sarko.
Ségolène, armée de sa « bravidude », n’a su qu’arpenter la Muraille de Chine au milieu des photographes au lieu d’aller rencontrer le macho colonel sous sa tente berbère. Tant pis pour elle.
En attendant, Cécilia a parfaitement joué son rôle et beaucoup lui sera pardonné. La France se retrouve avec une « première dame » qui va faire oublier Danielle Mitterrand, ses Kurdes et ses Sarahouis. On va pouvoir l’envoyer rencontrer Ben Laden, Ramadinedjad et même le cow-boy new-born de la Maison Blanche : ça le changera de sa Condoleezza habituelle.
Pour l’instant tout va bien : pourvu que ça dure !
Le Sage Hibou
http://tf1.lci.fr/infos/monde/afrique/0,,3500158,00-arrivee-sofia-infirmieres-bulgares-.html
je ne comprends pas tout. loin de là.
Sarko et les autres grands de notre Europe semblent faire copain-copain avec Kadafi le Lybien.... Ils en sont même à le remercier... alors qu' il ne s'agit que d'un immonde racket.
Où va le monde ?
Arrêtez quelques étrangers, torturez les, privez les de liberté 8 années durant, et voilà ce qui vous attendra.....
Kadafi n'est qu'un terroriste. On n'a pas à lui lécher les bottes ainsi. c'est cela qui me met en boule.
"Le président de la République française (Nicolas Sarkozy), et le président de la Commission européenne (José Manuel Barroso) saluent ce geste d'humanité de la Libye et de son plus haut dirigeant ".
A quand une statue et un jour férié en l'honneur de ce dictateur ?
Une autruche intransigeante et rigide donnait un cours sur la supériorité de son espèce sur toutes les autres à de jeunes autruches : “Nous sommes les plus grands et les meilleurs !” Tous les élèves acquiescèrent à l’exception d’Oliver, une autruche plus réfléchie.
“Nous ne savons pas voler à reculons comme les colibris”, dit Oliver à haute voix.
- Les colibris , en reculant, perdent du terrain, répliqua son aînée ; nous autres, nous allons de l’avant.
- Ça c’est vrai ! s’exclamèrent toutes les autruches excepté Oliver.
- Nos oeufs sont les plus grands et les meilleurs, poursuivit l’enseignante...
- Ça c’est vrai ! s’exclamèrent toutes les autruches excepté Oliver.
- Nous marchons sur quatre doigts, alors qu’il en faut dix à l’homme, continua l’autruche.
- Mais l’homme sait voler en restant assis, alors que nous sommes incapables de voler, commenta Oliver.
L’enseignante le dévisagea sévèrement. “L’homme vole beaucoup trop vite autour de la terre. Or, elle est ronde. Bientôt il se rattrapera lui-même en se heurtant par derrière. Il ne saura même plus qu’il s’est frappé lui-même. »
- Ça c’est tout à fait vrai ! s’exclamèrent toutes les autruches excepté Oliver.
Et puis, quand se présente un danger, nous pouvons nous rendre invisibles en nous cachant la tête dans le sable, s’écria la maîtresse. Cela personne d’autre ne sait le faire...
Soudain, toute la classe entendit un grondement inhabituel et menaçant comme un roulement de tonnerre ... Le tumulte ne venait pas du ciel. C’était une immense horde d’éléphants maladroits, effrayés par un quelconque danger qui fonçaient droit devant eux, à l’aveuglette. L’enseignante et ses élèves enfouirent immédiatement la tête dans le sable, excepté Oliver qui s’abrita derrière un gros rocher. Il y resta jusqu’à la fin de cette étrange tempête. Quand il sortit de sa cachette, Oliver ne vit devant lui qu’une vaste étendue de sable avec des os et des plumes. C’était tout ce qui restait de ses compagnons de classe. Par acquis de conscience, il fit l’appel. Seul le silence lui répondit.
“Oliver ! cria-t-il alors.
- Présent !”, fut l’unique réponse du désert.
Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour, il en planta 37 dans la barrière.
Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour. Il avait découvert qu'il était plus facile de se contrôler que de planter des clous... Finalement arriva le jour où le garçon ne planta pas le moindre clou dans la barrière.
Alors il alla voir son père et lui dit que pour ce jour, il n'avait pas planté de clou.
Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience.
Les jours passèrent et finalement, le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière. Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit: "Mon fils, tu t'es bien comporté, mais regarde tous
les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera plus jamais comme avant.
Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après, lui retirer, mais il restera toujours une blessure..."
Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera. Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et ils t'ouvrent leur coeur .
La cigale et la fourmi
Il était une fois une fourmi et une cigale, de caractère différents mais qui s'entendaient à merveille.
Comme dans la fable si bien connue, la petite fourmi travailla sans relâche, dès la fin de l'été, histoire d'engranger un maximum de nourriture pour l’hiver qui n'allait pas tarder..
Elle ne profita ni de l'été indien, ni de la douce brise des belles soirées automnales, ni même des bavardages entre copains-copines savourant une bonne bière fraîche après une journée de chaleur.
Pendant ce temps, la cigale, faisait des méga teufs avec ses amis, dans tous les bars de la ville, ne gaspillant pas même une minute à son approvisionnement. Elle passa ainsi tout l' automne, chantant, dansant, profitant du soleil, prenant du plaisir sans se préoccuper de la mauvaise saison qui s'approchait à grands pas.
Un soir, Le grand froid arriva enfin. Aussitot, la petite fourmi, exténuée par tout son travail, se réfugia dans sa modeste demeure remplie de nourriture jusqu’au plafond.
Elle refermait à peine la porte, qu’un coup de klaxon enfièvré l'appelle, depuis l’extérieur.
Curieuse, elle entr'ouvre sa porte, et éberluée voit devant elle son amie la cigale. Celle -ci est au volant d’une rouge Ferrari flambant neuve, emmitoufflée dans un somptueux manteau de fourrure !
La cigale prend la parole :
« Fourmi, mon Amie, Bonjour ! Je venais te saluer et te dire que j'allais passer l’hiver à Paris. Voudrais tu, s'il te plait, veiller sur ma petite maison ? »
La petite fourmi surprise et hésitante :
« Mais oui, bien sûr ! Sans problème... Mais dis-moi, que t’est-il arrivé ? Où as-tu trouvé l’argent pour monter à Paris, t’acheter cette Ferrari ainsi que ce magnifique manteau ? »
« Oh mon Amie ! Si tu savais.... Figure-toi qu'ayant chanté tout l'été, Arthur le Producteur est tombé amoureux de ma voix. Il vient de me signer un contrat en Or. La Capitale a besoin de moi. Les spectacles attendent ma voix. A propos, Fourmi mon ami, as-tu besoin de quelque chose de là-bas ? »
« Ah Que Oui, répond notre petite fourmi : Si tu rencontres La Fontaine, envoie-le paître dans la Seine pour moi ! »