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Lire en Caravane
Bonjour à tous.
Ce matin,Joelle et moi nous sommes rendues dans la classe d’Amandine Cerise, responsable des élèves malvoyants d’Ambarès et Lagrave.

Nous voulions leur montrer les premiers livres tactiles que nous avions réalisés pour les enfants et présenter à l’équipe notre projet de partenariat pour la Fête du Livre Recyclé du 8 mars prochain.

Nous avions emmené : Nom d’un champignon, Ce n’est pas moi, Emmo l’escargot, et Les 5 sens du Petit Chaperon rouge. Immense succès auprès de l’équipe  qui a été épatée par la qualité de notre travail…. Personne ne s’attendait à un tel rendu. (Cocorico…lol. Bravo à tous les bénévoles de l’atelier)

J’ai retenu de nos discussions :

Qu’il ne faut pas hésiter à jouer sur les couleurs, même pour le papier, d’autant qu’il faut accentuer les contrastes pour ces enfants certes mal voyants, mais qui possèdent pour certains une vision périphérique. (Dixit Noah,7 ans)

Que les textures proposées sont au top. Bravo !

Que c’est très bien de n’avoir pas surchargé les pages. (Il faut rester simple).

Qu’il ne faut pas hésiter à écrire en lettres Majuscules, arial 18 ou arial 16 tout en laissant un double interligne entre les phrases.

Que l’on peut insérer un objet sonore (ça, ne n’est pas gagné… Lol)

Que l’on pourrait imaginer un petit animal que l’enfant pourrait promener de page en page, pour accompagner le récit…… (Elle en a de bonnes idées Amandine, non ?)

Que l’idée d’ajouter quelques mots en braille est bonne. Que l’on pourrait même créer un petit lexique…

Etc etc etc….

Bref, notre matinée a été magique, tant par la rencontre avec les 9 élèves, que par nos échanges avec tous les membres de l’équipe pédagogique.

Nous ne pouvons que remercier Magalie Berthier d’avoir porté notre projet à la classe ; Amandine et toute son équipe pour son accueil, et bien sur les enfants pour leurs sourires et leur entrain.

Joelle Gagnerot est revenue admirative de l’ambiance de la classe, de cette immersion auprès de ces enfants si différents mais ô combien attachants. Je me demande même si elle n’y serait pas restée plus longtemps… lol

Qu’elle se réconforte : La matinée semble avoir été si productive, que Magalie vient de nous proposer que les enfants viennent à la rencontre de tous nos bénévoles, à Saint Laurent d’Arce.

C’est génial. Non ?

#lireencaravane, #helenebenoit, #amandinecerise, #livrestactiles, #livressensoriels, #saintlaurentdarce, #benevolat, #magalieberthier, #peyrelongue, #irsa, #feelgood, ########

Les bénévoles de Lire en Caravane ont bien du talent.

Encore un livret de terminé… une histoire inventée et illustrée par Carole. (Hummm quand on possède des doigts en or… ça aide.)

Ce jeudi, Caroline est venue rejoindre notre équipe . Caroline préparera un abécédaire en Braille….

Puis, nous avons reçu la visite de deux admiratrices… qui se reconnaîtront… Catherine et Annie.

Je n’oublie pas Marie et  Jean loup  qui ont tenu la permanence de Lire en Caravane,  pendant que nous bricolions dans la salle des associations de notre village.

Merci à tous d’être à nos cotés.

Connaissez vous la chasse aux galets ?

Rien de plus simple.. 
😎 soit vous trouvez un galet posé ici ou là par une main inconnue…

Coté pile, un joli dessin, fait à l’acrylique ; coté face une signature, un #trouvemongalet, ou #lesfousdesgalets,
#Faismoivoyager, #recachemoi, #recrachemoi, #lescaillouxvoyageurs, #loveontherocks….

Ce galet, vous pouvez choisir de la gardez pour vous,  ou vous pouvez décider de l’emmener plus loin… 
Dans tous les cas, vous etes invités à « avertir les réseaux sociaux » via une photo, un message…. Cela ravira son auteur…les #sont faits pour ca.

😎 deuxième solution : vous décidez de poursuivre le défi… vous ramassez un ou deux galets le long de votre ballade.
Vous le peignez selon votre humeur du moment.
Vous y ajoutez votre #preféré.
Et vous le cachez  en attendant qu’un inconnu le retrouve et l’emmène au bout du monde.

Je n’ai pas osé ramasser le premier galet que j’ai rencontré, mais  apres quelques recherches, je me lance dans l’aventure et voici mes 3 premiers galets.
Les cailloux viennent de la baie de Somme, ils ont été peints à Hendaye et seront  cachés dans ce beau pays basque.
Je vous les présente. J’espère qu’ils voyageront loin.

Mais auparavant, je dois les vernir… et mon vernis est à la maison. Aie aie aie..

coté matériel en plus des galets, il faut une sous couche acrylique type GESSO, -Et meme 2 couches pour le blanc. - ensuite les dessins sont réalisés aux marqueurs acryliques ( paint marker, posca), et du vernis. J’ai trouvé ces trois accessoires pour une quinzaine d’euros chez Action.  Meme que je pourrai. réaliser plus d’une centaine de galets..  chiche ?

Allez, je vous tiendrai au courant.

premières nouvelles. Il faut bien attendre avant de vernir. Sinon ca coule.   J avais posé mon côté face sur une feuille de plastique.  Ca a fait des coulures.  Il vaut mieux laisser sur une planchette de bois.  
 

le vernis .. j.en ai mis 2 couches également.  
je pose mes premiers galets demain sur hendaye. Qu on se le dise. 

A bientot. Helene

#Trouvemongalet33, #chasseauxgalets, #chasseaugalet,#diy, #peinturesurgalet, #galetpeint, 

Expérimentation zéro déchet, ou comment remplacer le PQ  par des lingettes lavables ?

« Hélène, dans quoi te lances tu encore ?????

Vous le savez bien, l’air du temps est au zéro déchet. Partout on nous invite à des ateliers recyclage et cie….

Je ne les fréquente pas trop, car depuis long j’ai mis en place mon propre recyclage…. (compost, sacs réutilisables, yaourts et produits ménagers maison...  Bref, en moyenne, je ne mets dans mes poubelles de ville qu’un demi sac de déchets et encore.

Depuis quelques mois, une idée me trotte en tête : Pourquoi ne pas remplacer le PQ par des lingettes lavables… Les mêmes qui nettoient les fesses de mon petit-fils, de ma petite fille… Si c’est bon pour eux, pourquoi ne le serait-ce pas pour moi ?

Vaste projet… surtout que ça fait 60 ans que j’utilise le sacro-saint PQ… du blanc, du rose, du fleuri, du sans odeur, du molletonné, des rouleaux sans rouleau, des feuilles triple épaisseur, des One feuille, du bio…  Un vrai business ce PQ. Une denrée si précieuse qu’au début de la pandémie, les gens se ruaient dans les rayons des supermarchés pour assurer leurs stocks…

Bref, en ce début d’année, je viens de sauter le pas… J’abandonne le PQ… ou presque. Comme je suis en phase d’expérimentation, je n’utilise mes lingettes que pour le pipi. Je verrai plus tard, si je peux le remplacer à  100%... mais rien ne presse… Pas vrai ?

Après quelques jours d’essai, j’ai informé mon chéri, qui m’a dit : « Oui mais... l’eau, le lavage, le coût… Va-t’en savoir si c’est vraiment mieux pour la planète… et puis… et puis…. Et puis... ».

• Pas de souci, lui ai-je répondu, je vais te trouver quelques éléments scientifiques qui devraient appuyer ma démarche.

Ce que je peux déjà dire, c’est que les lingettes en tissu, c’est bien plus doux que le papier toilette. Ensuite, je ne tombe plus sur des rouleaux vides, que les lingettes ne se déchirent pas, que c’est très facile à laver, sécher… Bref, l’idée me semble tout à fait viable…. C’est un bon début, non ?

Au fait, savez-vous combien de rouleaux de PQ se noient dans nos toilettes?

Google a réponse à tout…Il paraît que nous utilisons chacun environ 100 rouleaux par an et par personne !   ah quand même…Ce PQ est un énorme business. « En France, le marché représente 786 millions d’euros par an. »
« Un Européen consomme en moyenne 13kg de PQ par an. Dont seulement 40 % issus du recyclage. »
« Une famille de quatre personnes dépense entre 68 et 340 euros par an en papier toilette. » (site: slate.fr)

Avouez que pour ce prix-là, je me fais un stock XXL de lingettes… wouah…

Quid de la pollution liée au papier toilette ?

Le WWF dénonce l’usage abusif de papier toilette issu directement de fibres vierges et préconise pour sa fabrication l’utilisation de papier recyclé. Chaque jour l’équivalent de 27 000 arbres serait utilisé pour fabriquer du papier hygiénique ou ménager.

Bien sûr, le papier toilette jeté dans les canalisations augmente le taux de matières organiques à traiter dans les stations d’épuration et implique donc l’utilisation d’encore plus de produits chimiques. Le papier n’étant pas totalement biodégradé, en arrivant dans les stations d’épuration, il est filtré puis envoyé à l’incinérateur…

Tout cela dépasse de loin, le bilan énergétique et la consommation d’eau nécessaire à l’intégration des lingettes aux lessives habituelles. Une fois ses chiffres mis en évidence, on pourrait peut-être imaginer une autre solution au papier toilette, non ?

« Mais quelle consommation d’eau en plus pour laver tout ce linge » ? questionnait l’homme de la maison…

Savez-vous qu’il faut 140 litres d’eau pour fabriquer 1 seul rouleau de PQ…  Aie aie aie. Je n’oublie pas les milliers d’arbres abattus, le gasoil pour les transports, les films  d’emballage, les heures de manutention… sans oublier les produits chimiques pour blanchir ou colorer nos feuilles de PQ.  Difficile dans ses conditions de ne pas polluer, et bien sur, ça laisse plein de résidus dans l’eau... Je n’ose pas parler des litres d’eau utiliser dans les stations d’épuration.

Bien sûr, il y a du PQ bio, surement moins néfaste pour la planète, mais ça reste du PQ et ça coute hyper cher… Bref, avec mes bouts de tissus récupérés, je ne peux que m’éloigner de tous ses chiffres exorbitants…

Reste la question de culture et d’habitude…

Savez-vous que près de la moitié de la planète n’utilise pas de papier toilette ! Si si ! C’est une habitude des pays riches.  Le PQ a été longtemps considéré comme un produit de luxe. Son utilisation ne s’est généralisée que depuis les années 1960. Je me souviens des pages de magazine ou les feuilles de papier journal avec lesquelles on s’essuyait les fesses… A cette époque-là, les toilettes étaient encore au fond du jardin...

Dans la plupart des pays asiatiques et musulmans, il y a de l’eau à disposition. Il peut s’agir d’un seau d’eau avec un petit pichet dans les endroits les plus rustiques, ou d’une « douchette », un dispositif qui fonctionne comme un tuyau d’arrosage dans le jardin (la longueur et la puissance en moins !)

J’ai eu l’occasion d’essayer les toilettes japonaises. Elles sont équipées d’un petit jet qui envoie pendant 3 minutes de l’eau tiède sur nos fesses.  L’idée est bonne, mais j’ai trouvé le temps un peu long, le bruit un peu fort. Heureusement l’EDF n’était pas en greve…. haha

Mais Revenons à nos moutons… que dis-je à nos lingettes.

Les lingettes lavables : Quézaco ? Ce sont des lingettes en tissu doublées d’éponges en bambou ou chanvre.  On peut choisir d’utiliser du tissu bio, ou de récupérer le tissu éponge de notre vieux peignoir... Pourquoi pas ?  Les couturières savent que le jersey d’un t-shirt ne s’effiloche pas alors que l’éponge si.

Ces lingettes mesurent 11cm x 16,5 cm pour le modèle rectangulaire, et le modèle carré mesure 12cm de côté. (Certains se basent sur la dimension de la main.)

Question couture, il est recommandé de coudre endroit sur endroit. De laisser une ouverture, afin de retourner les tissus.  On peut recoudre le dessus pour une belle finition.  Ceci dit, pour l’usage qu’on en fait aux toilettes, de l’éponge surfilée en point zig-zag, peut suffire largement. Aujourd’hui, je dispose qu’environ 50 lingettes…  Rien ne m’empêchera d’en coudre d’autres si besoin. « Peignoir, mon beau peignoir usé troué… où es-tu ? »

Où mettre les lingettes sales ? Qui de l’entretien, du lavage ?

Je les stocke mes lingettes utilisées dans la petite poubelle fermée que je réserve à cet effet.  Il est recommandé de ne pas utiliser de poubelle en plastique car cette matière garderait les odeurs...   

L’idéal est de ne pas stocker trop longtemps les lingettes de la poubelle. Donc tous les jours ou presque, elles partent au lavage, au milieu des autres linges (à moi toute seule, jamais je ne remplirai la machine tant elles sont légères). Je les mets avec les serviettes, les draps à 60°.  Elles ressortent toutes propres et sans odeur. Ensuite, direction le séchoir, que je laisse dans la véranda ou que j’installe dans le jardin. Certains utilisent des petits séchoirs à pinces qui semblent bien pratiques eux aussi.

Quid de mes invités, de mes enfants, de mes amis…

Evidemment jamais je ne les obligerai à suivre mes expérimentations…Visiteur du jour, sois donc rassuré, tu auras toujours à ta disposition des rouleaux de PQ.  Mais si jamais ça te dit de tester la douceur de mes lingettes, pas de souci… Il faudra juste essayer de ne pas les jeter dans la cuvette… lol

Vous parliez de l’hygiène ?

Il faut savoir que l’urine est stérile, donc pas de risque de contamination ou autre.  Certains mettent quelques gouttes d’une huile essentielle (citron, tea-tree ou lavande) sur un carré de tissu dans le fond de la poubelle pour parfumer et désinfecter. Pourquoi pas ? D’autres mouillent au préalable les lingettes, histoire de bien enlever les résidus. Dans ce cas, la lingette lave, alors que le papier toilette, lui ne fait qu’enlever les résidus. Bref, c’est bien plus hygiénique…  Pour rappel, dans des pays utilisant de l’eau, les gens se lavent le derriere et ne se contentent pas de s’esssuyer.

Helene, ce n’est pas très propre, quand même…

Rassurez-vous, ce n’est pas plus sale que de s’essuyer classiquement avec du papier toilette. Qui ne s’est jamais aperçu qu’il en avait sur le bout des doigts, parce que sa feuille de PQ s’était déchirée ou était trop fine ? Donc non ! il n’y a rien de sale, juste quelques habitudes à changer.

NOTA BENE

Je reviens d’un week end passé à la mer… Ben franchement, j’ai hâte de retrouver mes lingettes…  si vous saviez combien c’est plus confortable… allez, je vous laisse essayer… tenez moi au courant…. lol

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La boutique a eté livrée de ses maillots.

Un immense merci à Julie Lerin, élève du lycée de Saint André de Cubzac, pour son travail et sa patience.

a tres bientot sur Saint Lo.

Bonjour Lison. Te voilà bientot sur la route pour Saint Lô, puisque tu as été sélectionnée en Equipe de France U21 . Pour rappel, les championnats du monde se dérouleront à partir du 15 aout prochain.

Peux tu te présenter ?

Bonjour Helene. Je m’appelle Lison . J’ai 21 ans, je vis à Loire sur Rhône au Centre Equestre du Vieux Moulin qui appartient à ma mère et mon beau père 😁 .

Quelque part, c’est une grande chance car durant le covid, par exemple, j’ai pu continuer à monter tous les jours. Bien sur, il n’y avait pas ni match ni objectifs précis, mais cela m’ a permis de me reposer, d’être plus tranquille pour mieux repartir ensuite.

J’ai commencé à monter à cheval très jeune avec  ma mère à Nice où j’ai commencé le horse ball. Apres, nous avons déménagé à Loire sur Rhône. J’ai intégré le centre hippique et je porte nos maillots verts depuis ma catégorie  « moustique » .

Je peux préciser que j’ai toujours fait du CSO en parallèle du horse hall.  Mais, ce que j’aime dans cette discipline  c’est l’esprit d’équipe, le fait qu’on puisse compter les uns sur les autres. J’aime aussi le fait de former un couple avec son cheval. Ensemble, nous essayons toujours d’être les plus performants possible.

Qui montes tu ?

Ma jument s’appelle Muccola. C’est une pur sang de 14 ans. Elle est très réactive et maniable, elle aime le horse ball et donne tout sur le terrain. J’aime beaucoup jouer en défense avec elle. Muccola anticipe ce que je vais lui demander c’est un bel avantage. Un défaut ? Elle est une peu feignante à la longe et puis elle n’est pas toujours très sociable, mais  à part ça elle n’a aucun défaut.

Auparavant, c’était ma mère qui la montait. Moi, je l’ai récupéré en 2019. Je la monte tous les jours. Nous alternons les entraînements, le travail à la longe, le  dressage et les balades/ trotting…

Que retiens tu de ta dernière saison ?

Notre saison n’a pas été facile car le niveau était élevé et notre équipe a évolué.  Au fil de la saison, nous avons trouvé notre rythme et avons pris plaisir à jouer ensemble. Nous avons fini notre championnat avec une belle médaille de bronze.

As tu une joueuse, un cheval qui t’inspirent ?

Ma joueuse préférée ? Je ne t étonnerai pas en citant Eve Segear. Eve est aussi ma coéquipière et  je l’admire vraiment. Elle est très forte et son mental est impressionnant.

En ce qui concerne mon cheval favori,  je dirais Avril de Nicolas Llinares car il présente une réactivité incroyable.

J’aimerais nommer un autre couple qui ne vient pas de mon club mais que j’aime regarder : Emma Boudinaud et sa jument. Ils sont très soudés et très forts sur un terrain.

Lison, que fais-tu dans ta vie professionnelle ?

Je suis en formation DEJEPS CSO, et souhaite devenir entraîneur spécialisé dans le CSO. Donc c’est assez facile pour moi de lier les deux étant donné que je suis en formation les lundi et mardi. Le reste de la semaine,  je travaille aux écuries.

La Coupe du monde va commencer d’ici quelques jours. Comment vas-tu la vivre ?

J’envisage cette Coupe de monde avec une très forte envie de gagner. Un peu comme sur chaque week-end. Bien sur, je vais donner le meilleur de moi même.

La préparation arrive à son terme. Nous avons travaillé chaque jour  pour que Muccola arrive à Saint Lô la plus performante possible. Et moi, j’ai eu la chance de m’entraîner avec d’autres jeunes chevaux.

Est-ce ta premiere compétition internationale ?

Non non. J’avais  participé en cadet à la Champion’s League. on avait fini deuxièmes en 2015. En 2019, j’ai participé à la  Champion’s League  féminine.   Mais, je n’ai jamais participé à une compétition de si haut niveau. C’est la Coupe du monde, quand même ! Mais, je vais vivre chaque jour  en prenant de l’expérience et avec les coéquipières, nous allons  tout  faire pour ramener la coupe.

As tu un petit mot pour conclure cette interview ?

 J’aimerais remercier toutes les personnes qui m’ont permis d’arriver là : ma famille, mes coéquipiers, et toutes les personnes qui m’ont encouragée sans forcément être au bord du terrain. 😄

Merci Lison. A tres bientot et bon Championnat du monde.

Crédit photo :  loudaum, #HBshootbyloudaum, #juliettedomecephoto,

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Julie, 16 ans est venue photographier notre maquette. Le rendu est superbe.

Bravo Julie pour ce partage. 
@julielerinvignalou

Un tres bel article écrit par Philippe Charbonneau pour le Sud Ouest du 5 aout 2022.

Merci Philippe

#maquette, #horseball, #saintlo, #normandiehorseshow, #coupedumonde, #helenebenoit # Ecuriesdupato, #schleich, ###

Petit essai ce matin, avec le montage des banderoles multicolores. Philippe avait amené sa perceuse pour les installer …  Yesss!

C est superbe .  Je suis heureuse du rendu.  

 Merci à Marie Claude pour son aide pour les fanions.

Cérémonie des U10 :  Les deux falabellas manquants devraient arriver sous peu. Je m’essaye aux couvertures aux couleurs de la FIHB. C’est plus dur que prévu.. lol

On a repris les côtes pour la boutique.  Mon chéri a trouvé une idee géniale : utiliser mon obstacle de CSO comme portant.  Humm !!!

Bien sur, j adresse un  grand merci à Martine M qui a cousu  les maillots et dont je me suis inspiré pour la suite.  Ca m ‘a beaucoup aidé, parce que mine de rien je ne suis pas si douée que cela en couture ..

Bon, c est l heure de l.apéro. On va fêter notre mise en scène.  On le mérite bien. À bientôt pour d’autres détails… Saint Lô et sa Coupe du monde de horse ball seront une fête… sans aucun doute.

je pense que du 3 ou 5 aout, je ferai des portes ouvertes à Saint Laurent d’Arce, pour une visite locale de la maquette..

À suivre sur les réseaux sociaux..

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12 équipes à préparer…

vite vite au boulot;

j’espère n’en oublier aucune.

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