George W. Bush.
C’est pour moi un mystère : comment 280 millions d’Américains ont-ils fait pour choisir ce George W. Bush comme président ? Quand on voit sa tête, ses gestes, ses mimiques, il fait plus penser à un simplet qu’à un président des United States, l’état le plus puissant du monde.
Il a en particulier une façon de pencher sa tête à près de 90° sur le côté qui fait immanquablement penser à une marionnette ou à un polichinelle, il lui arrive de faire des grimaces incroyables avec sa bouche comme un gosse de trois ans mal élevé. Est-ce son guignol que l’on nous montre à la télé au lieu du vrai Deubble You ? Je me suis posé la question, mais ce serait quand même un peu gros.
Avez-vous vu sa tête quand on lui a annoncé l’attentat des twin-towers ? Il est resté paumé un long moment sans demander de renseignements complémentaires, comme s’il savait que cela devait arriver et comment cela devait se passer dans le moindre détail. Et sa décision : ne pas rentrer à Washington, se réfugier dans un quelconque aéroport en attendant que les choses se tassent, et laisser Dick Cheney se dépatouiller tout seul dans la salle d’op.
On savait déjà qu’il manquait de courage physique : il avait fait le nécessaire pour ne pas aller au Vietnam, son premier pseudo-voyage à Bagdad était complètement bidon : comme Jésus après sa résurrection, il apparaît subitement dans une salle où des officiers bouffent la dinde de Thanksgiving en disant « J’ai faim ! », ne salue personne nominativement et disparaît comme il était venu.
La scène a pu être filmée n’importe où, dans une quelconque base américaine, loin, très loin de Bagdad. D’autant plus qu’aucun des présents à cette ripaille ne s’est jamais manifesté. Et que, de Washington à Bagdad et retour, aucun contrôleur aérien de la moitié de la planète n’a repéré cet Air Force One pourtant bien reconnaissable ; (moi, je l’ai vu, c’était à Pékin, en bout de piste ; mais moi, c’était Kissinger, lors de son premier voyage semi clandestin en Chine).
Etre candidat à la présidentielle aux States, cela coûte cher, très cher, et seuls les lobbys les plus puissants peuvent s’y lancer. Et c’est pour cela que seul le lobby pétrolier Chevron-Texaco + Halliburton + Carlyle peut se payer ce luxe.
Un petit groupe très fermé, avec ses complices saoudiens, dont font partie Bush Père, Condoleezza Rice, Dick Cheney et… la famille Ben Laden. Et c’est ce groupe qui a désigné Bush Junior pour jouer le rôle de président bidon . Une marionnette, autrement dit, rien de plus. Alors, qu’il soit un peu simplet, ça ne gêne guère. Le vrai pouvoir est ailleurs, comme dans cette série télé.
Dans ces conditions, le 11 septembre s’analyse tout simplement comme une zizanie à l’intérieur du groupe, l’un des frères Ben Laden ayant décidé de casser la baraque pour des raisons qui m’échappent.
Le Sage Hibou. 22/09/06