Chars à Putes dorées....
Ha ! Je suis rassuré ! On nous prend bien pour des cons ! J’avais encore des doutes, mais ça y est j’en suis sûr !
L’histoire des stop cochonnes pour les patrons, c’est bien encore une connerie, je viens d’entendre que ça s’appliquerait que aux nouveaux patrons, ça veut dire que sans effet rétroactif, ceux qui sont en place vont continuer à mettre un sac sur le dos, avec à l’intérieur un parachute en billets de banques cousus d’or ;
Les bonus par contre vont continuer d’exister, c'est-à-dire que je pense qu’y vont rebaptiser les stop cochonnes en bonus et le tour sera joué.
Pas con ! Non ?
Nous oui ! On est très cons, parce que si on est viré on touche la main des collègues pour dire au revoir et c’est tout.
Au fait vous avez vu comme on parle de responsables, souvent on leur donne un nom d’une partie du corps et alors on retrouve, des cerveaux à la recherche, des nez dans les parfums, des petites mains dans la couture, des oreilles au RG, amis ce qu’y a surtout c’est des bras droits, pas les gauches, sais pas pourquoi et alors dans l’entourage de la tête on retrouve souvent très prés des trous du cul.
Ca vous épate hein !
Le concierge
13h00
1 million d’euros ! C’est le montant des bonus versés aux commissaires européens qui quittent leur poste cette année. Une vingtaine d’entre eux sont concernés, qui recevront au total 24,5 millions d’euros de « pensions» et indemnités de « transition » et de « réinstallation ».
Une information curieusement passée sous silence, alors que les médias ne manquent pas une occasion de se payer un banquier, ou un dirigeant d’entreprise qui percevrait des stock options ou parachutes dorés.
Le président de Valéo, Thierry Morin, est ainsi livré à la vindicte publique pour le parachute doré qui lui est attribué à l’occasion de son départ de Valéo (3,2 millions d’euros selon le journal Libération).
Même chose pour Daniel Bouton, qui concentre sur sa personne les rancœurs accumulées par les Français à l’encontre des banquiers ces derniers mois, à cause des stock-options perçus par les dirigeants de la Société générale alors que la société a reçu de l’argent public.
Le cas des bonus des commissaires européens n’est-il pas plus scandaleux, dans la mesure où il est directement puisé dans la poche du contribuable, déjà pressé comme un citron ?
En ces temps de crise, c’est aux bonus des hauts fonctionnaires, plus qu’à celui des patrons d’entreprises privées (qui, au moins, génèrent une activité enrichissante pour le pays) qu’il faut s’attaquer !
Le salaire de base d’un commissaire européen, c’est 230 000 euros par an.
Celui du président de la Commission européenne, José-Manuel Barroso est de 300 000 euros, soit l’équivalent du président des Etats-Unis !
Sans compter les multiples indemnités de résidence, journalières, ou encore de « divertissement » (sic).
Voilà un scandale de plus !
Source : www.openeurope.org.uk
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